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Học Bida 3 Băng Cùng Trung 3C - Mua Bán Phụ Kiện Bida Giá Rẻ

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작성자 Bernardo 작성일 24-11-17 15:40 조회 3 댓글 0

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Couronnez de vos fleurs mes pauvres rêveries.Posez sur ma langueur votre voile embaumé ;Au coucher du soleil j'attends mon bien-aimé. Vrai masque de bouffon, que l'humble hypocrisiePromène sur le vain théâtre de la vie,Mais qui, mal fixé, tremble, et que la passionPeut faire à chaque instant tomber dans l'action. Ce qu'il fait, ce qu'il voit des choses de la vie,Tout le porte, l'entraîne à son but idéal,Clarté fuyant toujours, et toujours poursuivie,Étrange idole, à qui tout sert de piédestal.Mais si tout en courant, la force l'abandonne,
S'il se retourne, et songe aux êtres d'ici-bas,Il trouve tout à coup que ce qui l'environneEst demeuré si loin, qu'il n'y reviendra pas.C'est alors qu'il comprend l'effet de son vertige,Et que, s'il ne regarde au ciel, il va tomber. L'éternelle sagesse est l'éternel silence ;Et nous aurons réduit, Bida Libre quand tout sera compté,Le balancier de l'âme à l'immobilité. La gloire comme une ombre au ciel est remontée,
L'amour n'existe plus ; - la vie est dévastée, - Et l'homme, resté seul, ne croit plus qu'à la mort.- Tel que dans un pillage, en un jour de colère,On voit, à la lueur d'un flambeau funéraire,Des meurtriers, courbés dans un silence affreux,
Égorger une vierge, et dans ses longs cheveuxPlonger leurs mains de sang ; la frêle créatureTombe comme un roseau sur ses bras mutilés : - Tels les analyseurs égorgent la natureSilencieusement, sous les cieux dépeuplés.


LES FEMMES.
Vierge, à ton beau guerrier nous allons te conduire.Nous te dépouillerons du manteau virginal.Bientôt les doux secrets qu'il nous reste à te dire
Feront trembler ta main sous l'anneau nuptial. Mais aujourd'hui qu'il parle, il faut bien qu'on se taise.- On avait fait jadis, quand l'Hercule Farnèse
Fut jeté dans le Tibre, un Hercule nouveau.On le trouvait pareil, on le disait plus beau :Le modèle était mort, et le peuple créduleNe sait que ce qu'il voit. Quel hideux océan est-ce donc que la vie,Pour qu'il faille y marcher à la superficie,Et glisser au soleil en effleurant les eaux,Comme ce fils de Dieu qui marchait sur les flots ? C'est un gai compagnon, un brave homme de guerre,Qui frappe sur l'épaule aux honnêtes fermiers.Aussi, Dieu soit loué, ses torts sont oubliés,Et nous voilà tous prêts à boire dans son verre.C'est aujourd'hui sa noce avec Déidamia. S'il fut jamais aimé, c'est bien de celle-là.- Un soldat m'a conté l'histoire de la bière.Il paraît que d'abord Frank s'était mis dedans.Deux de ses serviteurs, ses deux seuls confidents,
Fermèrent le couvercle, et, dès la nuit venue,Le prêtre et les flambeaux traversèrent la rue.Après que sur leur dos les porteurs l'eurent pris :« Vous laisserez, dit-il, un trou pour que l'air passe.Puisque je dois un jour voir la mort face à face,
Nous ferons connaissance, et serons vieux amis.


DÉIDAMIA.
Comme vous voilà pâle et la voix altérée ! Comme tu vas lui plaire,Ô ma belle Diane, à ton hardi chasseur ! Il a prouvé sa force.Les siècles maintenant peuvent se remplacer ;Il a si bien gravé son chiffre sur l'écorce,Que l'arbre peut changer de peau sans l'effacer.Les parchemins sacrés pourriront dans les livres,
Les marbres tomberont comme des hommes ivres,Et la langue d'un peuple avec lui s'éteindra ;Mais le nom de cet homme est comme une momie,Sous les baumes puissants pour toujours endormie,Sur laquelle jamais l'herbe ne poussera. Les plantes désoléesNe voudront plus aimer, nourrir, ni concevoir ; - Les feuilles des forêts tomberont une à une, -
Et vous, noirs fossoyeurs, sur la bière communePour ergoter encor vous viendrez vous asseoir ;Vous vous entretiendrez de l'homme perfectible ; - Vous galvaniserez ce cadavre insensible,Habiles vermisseaux, quand vous l'aurez rongé ;
Vous lui commanderez de marcher sur sa tombe,À cette ombre d'un jour, - jusqu'à ce qu'elle tombeComme une masse inerte, et que Dieu soit vengé.- Ah !


Que vous restera-t-il, enfants de nos entrailles,Le jour où vous viendrez suivre les funéraillesDe cette moribonde et vieille humanité ? Et vous avez soufflé sur le souffle de Dieu.- Le mépris, Dieu puissant, voilà donc la science ! FRANK.
Où donc ? Dis-moi donc, en ce cas, dis-moi, mère imprudente,Pourquoi m'obsèdes-tu de cette soif ardente,Si tu ne connais pas de source où l'étancher ? N'importe le chemin. - Je marcherai, - j'irai, - partout où l'âme humaineEst en spectacle, et souffre. DÉIDAMIA.
Je souffre cependant. DÉIDAMIA.
Si. - Quelqu'un nous écoute,Qui vient de s'en aller quand tu t'es retourné. »Il se fit emporter dans une sacristie ;Regardant par son trou le ciel de la patrie,Il s'en fut au saint lieu dont les chiens sont chassés,Sifflant dans son cercueil l'hymne des trépassés. Le mal est plus solide : Érostrate à raison.Empédocle a vaincu les héros de l'histoireLe jour qu'en se lançant dans le coeur de l'Etna,Du plat de sa sandale il souffleta la gloire,Et la fit trébucher si bien qu'elle y tomba. LES FEMMES.
Que ton visage est beau !

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